La première publication de notre magazine « Intégré·e » ayant connu un bel accueil, nous sommes heureux de continuer l’aventure; d’autant plus que les derniers mois de la vie de l’Orif ont été très riches en réflexions.
En effet, le constat d’un bilan mené à mi-parcours de notre stratégie 2022-2025 nous a offert l’opportunité de travailler avec l’ensemble de nos 60 cadres sur plusieurs chantiers d’importance. Cette démarche, qui représente un nombre conséquent de séances et d’heures d’échanges, doit aboutir à l’été 2024 à de nouveaux objectifs et de nouveaux projets autant sur l’axe stratégique qu’organisationnel. C’est ainsi que, l’Orif prend en main son avenir de manière ambitieuse, désireuse de se positionner – à tous points de vue – comme une organisation définitivement plus agile et toujours plus innovante.

Cette volonté ne nous fait pas oublier l’ «ici et maintenant ». Si une étude récente (voir p. 15) menée sur l’ensemble de nos collaborateurs et collaboratrices montre un très fort attachement émotionnel à notre organisation – ce dont nous nous réjouissons – elle a aussi mis en lumière la fatigue qu’engendre la réalisation de notre mission dans un contexte de plus en plus exigeant.

C’est donc en tenant compte de la nécessité de nous réinventer constamment, tout en apportant une attention particulière à la santé et à la formation de nos ressources humaines, que les sites Orif continueront à répondre aux attentes de leurs clients et à favoriser l’employabilité des personnes qui leurs sont confiées.

Damien Métrailler
Directeur général
Juin 2024

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La mission d’intégration socioprofessionnelle de l’Orif a rarement été autant mise à contribution depuis sa création en 1948. Qu’il s’agisse des attentes de nosclients historiques les offices de l’assurance invaliditéavec la mise en oeuvre du projet «développement continu de l’AI» ou que l’on pense à la formation de personnes avec des troubles du spectre de l’autisme ou des troubles DYS; nos 500 collaboratrices et collaborateurs sont mis au défi quotidiennement.

De plus, si l’esprit de la réinsertion demeure tel que Placide Nicod, père fondateur de l’Orif, l’avait imaginé; les moyens d’atteindre nos buts doivent s’adapter en permanence. Les exigences de l’économie ne cessent d’augmenter, les technologies et les principes du développement durable bousculent nos certitudes et les employeurs, acteurs essentiels de l’intégration, sont tiraillés entre responsabilité sociale, nécessité
de rendement et crises sanitaires ou économiques…Vous avez dit « défis »?

Qu’importe! La réinsertion est notre métier, nous le faisons avec passion et ces défis ne sont qu’autant d’encouragements à trouver des solutions pour toutes celles et ceux qui comptent sur nous pour trouver ou retrouver le chemin de l’emploi.

Damien Métrailler
Directeur général
Juin 2023

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